Sommes-nous des machines ou des êtres humains ? (Première partie)

Devons-nous continuer à nous découper en petits morceaux indépendants ?

 

Le corps humain est très complexe. Certains ont essayé de le découper en petites parties (ce sont les spécialités de la médecine conventionnelle allopathique), d’autres ont toujours considéré l’être humain dans son ensemble : la totalité du corps, de son état émotionnel, de sa spiritualité, mais aussi son environnement social, son activité physique, intellectuelle, son travail, son alimentation etc..

Ces deux approches existent au moins depuis l’Antiquité.

Découper l’être humain en une somme de petites composantes est très réducteur. Se spécialiser permet d’étudier plus en profondeur une partie de notre corps. Mais tous les thérapeutes devraient considérer l’être humain dans son ensemble. Nous savons maintenant qu’il y a énormément d’interactions entre les différentes composantes de notre être.

     Savez-vous que la pulsation de notre cœur transmet un message à tout notre corps ? Que muscler ses abdominaux peut provoquer des montées d’angoisse ? Que notre intestin est intelligent ? Qu’une hormone envoie différents messages ? Qu’un médicament peut provoquer d’autres symptômes ou aggraver ceux d’origine ? (Lisez les effets indésirables sur la notice d’un anti-dépresseur par exemple ! )
      Savez-vous que des symptômes aussi divers que des vertiges, un épuisement musculaire ou des crampes, un mal de tête, sensation de faim (souvent confondue avec l’hypoglycémie) ou baisse d’appétit, baisse de tension et de l’attention, fatigue intellectuelle, brûlures d’estomac, constipation, aphonie peuvent être dus à une simple déshydratation légère et se soigner avec … un simple verre d’eau ou deux ?

Nous devons être considérés dans notre ensemble. Pas comme un assemblage de machines.
Nous devons chercher à améliorer notre être dans son entier

Quand nous allons chez un médecin, très classiquement il se passe ceci :
– Une évaluation des symptômes (quelques questions, auscultation, interprétation d’un examen (analyse de sang, échographie…)
– La pose d’un diagnostic (vous souffrez de telle « maladie »)
– La mise en œuvre d’un protocole de soin (classiquement une ordonnance de médicaments, d’un acte chirurgical…) identique pour tous les patients en fonction de la maladie.
– Le paiement.
– Puis nous mettons en œuvre le protocole (paiement là aussi) : ingestion de médicaments ou soins par un spécialiste.
– les symptômes sont dissimulés, temporairement éteints (sinon habituellement nous retournons voir un médecin et le cycle recommence).

Le médecin semble ne considèrer qu’une très petite partie de nous.
Il veut supprimer le symptôme.

Nous sommes habitués à ce déroulement. C’est la règle dans le monde médical contemporain.
Mais quand on a affaire à des thérapies non-conventionnelles, du type thérapie quantique, tout peut changer.

– L’évaluation peut prendre beaucoup de temps. Elle peut vous demander d’être acteur principal (introspection, recherche d’explication, phase d’observation …)
– Il n’y aura pas forcément de diagnostic mais plutôt une prise de conscience holistique de la signification du message que les symptômes envoient.
– Les « soins » et les « traitements » peuvent être très variables (écoute active, changement alimentaire, prise de conscience, relaxation, équilibrage du corps électrique, harmonie de corps/esprit …) et peuvent reposer sur un acte volontaire de la part du patient. Les soins et traitements deviennent personnels, uniques, adaptés à qui nous sommes.
– Le paiement n’est en général pas pris en charge par les organismes que nous payons par ailleurs (cotisation santé ou mutuelle).
– Les symptômes ne disparaissent que lorsqu’une évolution du patient s’est bel et bien produite. (Pas de dissimulation possible). N’oublions pas que le symptôme est une alarme. La débrancher sans résoudre la cause est un risque.

Un thérapeute holistique va s’occuper de tout ce qui fait notre complexité d’être humain.
Il souhaite nous aider vers un mieux-être.

J’ai souvent reçu des personnes pour des séances de biofeedback quantique SCIO qui me demandaient : alors qu’est-ce qui ne va pas ? Quelle est ma maladie ? Beaucoup s’attendaient aussi, en fin de séance, à être débarrassés des symptômes.

Ces personnes étaient très déçues que je ne réponde pas à ces attentes. Déçues d’avoir parfois toujours des symptômes dérangeants, de ne pas avoir reçu un médicament-baguette magique qui leur apporterait une disparition immédiate de leur mal-être. Elles n’étaient pas toujours d’accord pour changer leur alimentation ou pour faire du sport… Dit autrement, elles n’étaient pas prêtes à se sentir responsables de leur santé et à agir pour l’améliorer.

Les clients/patients ne savent plus qu’ils sont responsables de leur santé.

C’est donc pour moi très important de leur donner des outils pour améliorer leur santé, pour limiter leurs stress, pour vivre mieux.

Le rôle éducatif du praticien de biofeedback quantique est primordial.

 

Et vous, que savez-vous sur votre corps, sur l’influence de votre vie sur votre santé?

Comment vous occupez-vous de vos patients ou clients ?

Qu’avez-vous appris récemment et qu’apprenez-vous à vos clients ou patients ?

 

N’hésitez pas à déposer vos commentaires ci-dessous

Vous pouvez lire la deuxième partie de cet article ici


Commentaire

Sommes-nous des machines ou des êtres humains ? (Première partie) — 3 commentaires

  1. bonjour

    […] [Le début de ce commentaire est supprimé car il fera l’objet d’articles complets. Merci Annie pour cette occasion ! ]

    Les domaines à aborder : L’approche avec le client savoir échanger et répondre à ses questions.
    A.BAUCHET

    • Oui, nous sommes bien d’accord, accueillir un client correctement est important, l’échange qu’on a avec lui est primordial.
      Pour répondre aux questions, nous devons nous former et acquérir de l’intuition, de l’écoute, de l’empathie, … et aussi reconnaitre avec humilité notre ignorance (et nous dépêcher d’y remédier ! ).

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