L’union de la technologie et de la conscience
Dans son émission de TV quantique du samedi soir, diffusée à l’échelle de la planète, le présentateur et le créateur de l’émission, Dr Paul Drouin, nous entraîne dans un nouveau monde, celui de la médecine quantique, la médecine naturelle. Voici pour le public francophone, un résumé de son émission du 21 mai dernier.
Dr Paul Drouin, médecin d’origine canadienne, est un pionnier dans le domaine de la médecine quantique depuis plus de vingt ans. Dès le début, il a créé un cours de certification en quantum biofeedback, qui fut le début d’un curriculum complet en médecine quantique. Il est le fondateur de l’Université Internationale pour la Médecine Intégrative (IQUIM), qui se trouve à Honolulu, Hawaï.
La médecine quantique fait son chemin lentement, en Amérique du Nord principalement puis en Europe, car elle est constituée de plusieurs éléments, qui nécessitent d’être longuement expliqués.
Une technique d’avenir
Du point de vue du Dr Paul Drouin, qui se base sur un rapport publié par la chaîne américaine de TV CNN, le domaine de la santé est le secteur où il y a le plus grand nombre d’emplois qui sont créés, environ 1 million. La médecine naturelle fait partie de tout ce secteur en pleine expansion. Il est donc important de comprendre cette médecine et de poursuivre une formation solide.
Le médecine quantique est un tremplin pour devenir un professionnel de santé en médecine naturelle, dont l’approche a complètement changé lors de la dernière décennie. La physique quantique est devenue un point d’intérêt fort, point de départ à la médecine quantique, médecine de la conscience.
En fait le biofeedback quantique, est un des outils technologiques qui servent à mettre en pratique ce que Deepak Chopra a mis en avant dans toute son oeuvre : le concept de la conscience.
Le biofeedback quantique permet de s’intéresser au point central commun à toutes les maladies : le stress. Ce dernier est le dénominateur commun à de nombreuses pathologies et il est souvent occulté quand on aborde le sujet de la maladie sous l’angle de la médecine conventionnelle.
Le biofeedback traditionnel était déjà connu des psychiatres et psychologues qui l’utilisaient pour contrôler les fonctions physiologiques involontaires, en apprenant aux gens à se relaxer, à réchauffer les extrémités des doigts etc. Quand la personne est formée pour faire ce type d’exercices, elle peut ensuite les utiliser elle-même pour soulager des maux de tête par exemple.
Dr Paul Drouin parle de “biofeedback inconscient” qui permet d’évaluer les points de résistance chez un individu et qui l’empêchent d’avoir un équilibre dans son corps. Le terme Biofeedback est un terme clé qui crée un pont entre la médecine de la conscience (ou autrement dit médecine quantique) et la médecine conventionnelle.
Il déclare : “Nous sommes dans une période de transition. La médecine naturelle (qui recouvre la médecine chinoise, naturopathie, Ayurveda etc .) a été considérée par la médecine conventionnelle comme n’étant pas fondée sur des bases scientifiques et va désormais se répandre dans les mois à venir. A l’université pour la médecine intégrative, on s’appuie sur les explications de la physique quantique pour intégrer des médecines millénaires qui vont devenir des méthodes de référence.”
Comment cela fonctionne t-il ?
Dans le cadre du biofeedback quantique, nous avons deux personnes qui sont en relation : le praticien et celui qui reçoit une séance et, une plateforme qui relie les deux, qui n’est autre qu’un ordinateur. Il s’agit d’une mesure indirecte du corps vital, via un lien subspace, dans le but de créer une connexion électrophysiologique (autrement dit électro-réactivité ou bien trivector). C’est la contirubtion du Professeur Nelson à la médecine naturelle d’avoir traduit cette signature d’électro-réactivité, à laquelle s’ajoute la notion d’implication (“entanglement” en anglais) entre les deux personnes reliées, qui est un concept de la médecine quantique.
Il ne s’agit pas d’une relation électrique entre les deux personnes, mais un lien de guérison plus puissant. C’est là où l’élément “conscience » entre en jeu. C’est aussi l’application du travail à distance et de la réussite avec cette approche. La physique quantique connaît bien cela depuis longtemps, une personne peut être aidée en étant géographiquement éloignée.
Il est nécessaire de prendre en compte un autre aspect : la lecture du corps vital. La notion d’anatomie subtile entre en jeu . C’est un concept développé par un des pères de la physique quantique, Dr Goswami, qui seul peut permettre de comprendre comment un appareil peut mesurer, lire une émotion, des schémas de pensée et traiter l’ensemble.
On part de la signature du trivector, on passe par la lecture de l’énergie vitale, et on tient compte de la conscience des deux personnes reliées. Ces trois éléments constituent le biofeedback quantique, qui ne peut pas être compris de façon linéaire (façon de penser occidentale). On doit avoir une lecture verticale et être conscient de certains éléments clés de la physique quantique. On prend en compte la relation corps/esprit et l’aspect chronique des difficultés physiques de la personne.
Comment lire des émotions
Comment peut-on évaluer quelque chose qui n’est pas localisé/localisable ? Comment peut-on avoir une lecture des émotions, des sentiments, de la relation corps/esprit, d’un processus de pensée ? Pour la médecine conventionnelle c’est facile, on part du postulat, je crois ce que je vois et rien d’autre et on ne croit pas à ce qui se passe dans la tête.
Les vagues quantiques que l’on voit sur un EEG (électroencéphalogramme) reflètent indirectement l’activité mentale ou le corps mental de la personne. On connaît bien cela dans le domaine de la relaxation, ou l’on parle d’ondes alpha, béta, théta qui nous entraînent dans une relaxation de plus en plus profonde, sans nous donner le décryptage des pensées. Avec le biofeedback quantique et les schémas de réactivité qui sont vus par le trivector, nous obtenons un moyen indirect de contrôler, évaluer, voir l’activité du corps vital.
Un terme revient souvent dans l’exposé du Dr Paul Drouin : en anglais “Non local” = ce qui n’est pas matériel. C’est la raison pour laquelle il est difficile pour un individu matérialiste de comprendre l’approche de la médecine quantique. Deepak Chopra propose un autre outil, la méditation, qui est fantastique mais pas suffisant pour comprendre les canaux de la conscience. Tandis qu’une personne bien au fait de l’existence de la conscience peut mieux appréhender cette approche des choses, qui est immatérielle. C’est la marque de fabrication même de l’univers.
Anatomie subtile/versus anatomie matérielle
Définition de l’anatomie subtile :
Nous sommes composés des cinq corps suivants
Corps de la félicité
Corps supramental
Corps mental
Corps vital
Corps physique
Seul le corps physique est matériel en trois dimensions. Le reste des corps sont des couches d’information. Selon le Dr Paul Drouin, on ne peut pas comprendre réellement une maladie, avec seulement une approche matérielle et l’anatomie telle que vue par la médecine classique. Nous avons besoin d’une approche qui tient compte de la conscience. Les multicouches, dont le corps supramental, sont inaccessibles d’un point de vue matériel. Par contre, on peut maintenant appréhender le corps vital, grâce notamment au trivector.
Définition du trivector
Il s’agit d’une énergie électrique définie comme une équation mathématique avec les trois variables suivantes :
Le voltage (induction): il s’agit du champ magnétique dans lequel les électrons se déplacent par ex à 90°.
L’ampérage (capacitance): on fait allusion au champ statique, c’est-à-dire comment l’énergie est stockée.
La résistance (conductance): la difficulté que le flux d’énergie a, à circuler.
Ce sont des termes électriques qui tentent de définir un champ d’énergie. Le biofeedback quantique mesure les trois paramètres électriques du corps de la personne qui reçoit une séance. D’autres calculs vont découler des relations entre ces différentes variables.
Puis nous avons la notion de “signature”.
Le Dr Nelson s’est basé sur la science appelée voltamétrie: il a effectué des mesures de chaque substance homéopathique et a trouvé pour chacune d’entre elles quelle est sa signature électrique, comment les trois paramètres, volt, ampère et résistance, sont affectés quand on ajoute une petite dose d’homéopathie.
Il y a une signature pour chaque substance dans la matrice de test d’un équipement de biofeedback quantique. C’est également ce qui a été appelé le processus Xrroid défini comme étant la réaction électro-physiologique (en anglais : EPR pour Electrophysiological Reactivity) à des milliers de composants électriques, introduits dans le champ électrique de la personne qui est testée, le tout effectué à la vitesse biologique.
Le processus Xrroid est le moyen qui permet de mesurer la réaction d’une personne à des éléments (ils sont tous une signature) tels que vitamines, substances homéopathiques, enzymes, hormones, allersodes, isodes, nosodes etc. en boucle cybernétique (biofeedback) et qui est capable d’initier la réparation des défauts énergétiques aussi vite qu’ils sont détectés.
Le logiciel Clasp 32 peut faire en quelques secondes ce que d’autres appareils faisaient avec beaucoup de temps et en une seule dimension, le volt par exemple.
On ne peut pas se permettre d’avoir une lecture linéaire de la matrice. Si une signature résonne à 100 %, c’est-à-dire parfaitement avec la personne qui reçoit la séance, c’est parfait. La plupart du temps, ce n’est pas le cas. Même si le logiciel est très intelligent, il ne donne aucun sens, il ne réfléchit pas. Il donne une réflexion du corps vital. C’est pour cette raison que la formation du praticien Biofeedback est très longue, afin d’avoir une compréhension globale et donner une interprétation aux informations données par le logiciel (ce dernier n’a pas de cerveau).
L’erreur que fait le praticien est de croire que le cerveau est dans le logiciel alors que la conscience entre les deux intervenants, le praticien et celui qui reçoit la séance, est importante. C’est le corps mental du praticien qui va entrer en action. Plus on va pratiquer, plus on sera performant. Sinon on reste au niveau d’informations électrophysiologiques.
Dans le cadre de la physique quantique : comment perçoit-on et fait-on l’expérience de la réalité matérielle : la signification est associée à la perception, la conscience est liée au biofeedback.
Comment le praticien va-til donner un sens à ce qu’il lit sur l’écran de l’ordinateur ?
Evaluation : Ecouter est la clé. La médecine quantique requiert une évaluation du patient en tant qu’être complet. Les informations doivent être considérées sous la forme de gestalts. Il s’agit de tracer un portrait de la personne, reflet du corps vital, alors qu’on a tendance à chercher un protocole. Le biofeedback permet le sur-mesure, d’individualiser une séance. La médecine quantique consiste à avoir une recette pour chaque individu, et non pas le même cachet pour tous les maux de tête. On doit approcher chaque personne de façon différente. et ramener la personne dans la zone de santé, renverser le bioterrain avant d’entrer dans la zone de la maladie.
Biofeedback quantique et conscience
Comprendre comment les pensées, les émotions, les sentiments peuvent “se déplacer” dans le champ morphogénétique subtil et manifester des maladies, permet de pratiquer correctement le biofeedback. Les maladies chroniques, les maladies auto-immunitaires, les maladies psychosomatiques ne peuvent être solutionnées sans un modèle basé sur la conscience. “Nous sommes à un carrefour maintenant. Depuis des années la technologie a été utilisée avec beaucoup de résultats. Parfois, il n’y a pas de résultat. Il est important d’apporter la conscience dans sa pratique.” déclare le Dr Paul Drouin.
Nous verrons dans un article suivant comment un praticien biofeedback quantique peut éviter certains pièges. Restez en contact avec le blog et posez vos questions dans le formulaire ci-après.
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Dr Paul Drouin, fondateur et directeur de l’Université internationale pour la médecine intégrative (iquim.org)