Esprit es-tu conscient, inconscient ou super-conscient ?

  Légende celtique, sculpture de  l'artiste marielauterre

  Source photo : Artiste Marielauterre. Clic sur l’image pour plus d’informations

 

A écouter

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Ce podcast a été réalisé avec l’aide des bonnes vibrations de la bio-music6en1, Montecristo-Voyage.

Le programme éducatif audio complet, d’une durée de 50 minutes, fait partie intégrante du module Les Fondamentaux (cliquez ici pour plus de détails). En vous y abonnant, vous aurez automatiquement accès à tous les autres programmes éducatifs.

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Transcription du podcast présenté ci-dessus

Utiliser un appareil de biofeedback quantique sur soi ou sur autrui conduit inévitablement à s’interroger sur cette partie invisible de l’être humain qui se cache derrière la zone que nous entourons avec un harnais, un capteur d’ondes. (cf notre vidéo). En fait ce même harnais ne se trouverait-il pas en plein milieu de cette zone invisible ?

Y a t-il donc un lien entre cette partie impalpable qui est partie intégrante de l’être humain, qui est parfois considérée comme la partie supérieure du corps et, qui est appelée selon les circonstances, conscient, inconscient ou subconscient et, super-conscient. Tous réunis seraient réunis sous le mot « esprit ».

Oui, on parle également d’esprit. C’est un terme que vous allez retrouver dans la médecine corps-esprit, qui a fait l’objet du travail de Deepak Chopra par exemple (cf l’article nous possédons un corps quantique). En dehors du contexte de la médecine, au siècle dernier des experts en développement personnel américains ont répandu les notions d’esprit, de conscient, de subsconscient.

Toutes les dissections anatomiques, nous ont révélé l’existence palpable de deux hémisphères. (dès l’antiquité on a disséqué le corps humain, les Egyptiens n’accordaient par contre peu d’importance au cerveau). Depuis quelques années le concept de cerveau droit et cerveau gauche a été vulgarisé Des caractéristiques et des qualités ont été attribuées aux deux parties du cerveau (cf l’article Cerveau gauche, cerveau droit, je retrouve l’équilibre) /….)

De surcroît, depuis le siècle dernier la technologie qui a connu et connaîtra une explosion au 21ème siècle, nous a permis de mesurer les ondes émises par le cerveau. Par exemple l’electro-encéphalogramme qui date de 1929, nous donne un tracé qui représente l’activité cérébrale avec une grande précision, milliseconde par milliseconde. (On le trouve dans la partie BIG du SCIO-Eductor). Une séance de biofeedback quantique par exemple, va permettre de faire de telles mesures.

Toutefois le patient et le praticien de biofeedback vont aller un peu plus loin et vont entrer dans la réalité du subconscient et du super-conscient, qui contrôlent notre vie à 99%. La guérison proviendrait de cette partie immatérielle, non palpable et invisible de l’être humain. Un équipement de biofeedback quantique peut « matérialiser » à l’instant T le subconscient. Le médecin quantique, associé à l’utilisation d’un équipement high tech, fera usage des deux qualités intrinsèques aux hémisphères gauche et droit, la conscience verbale et une interface inconsciente et super-consciente, de manière à ce que le corps puisse être traité et se traiter à des vitesses biologiques, et arriver à terme, à la guérison.

Les neurosciences nous ont aussi permis de faire un grand pas en avant en montrant que le cerveau n’est pas un élément figé du corps humain et qu’il peut assurément changer au cours d’une vie. Oui dans le monde scientifique, on parle de la conscience et on étudie les niveaux de conscience. Les scientifiques ont pu montrer que le cerveau ne produit pas ce qu’on appelle l’esprit ou la conscience. Il et elle semblent agir comme une interface avec le monde de la conscience. La conscience peut être considérée comme une fonction qui permet à l’individu d’être en relation avec le monde extérieur, au-delà des limites du corps de chair et, aussi en relation avec son monde intérieur, l’intime, les sensations et les processus mentaux.

Les principes quantiques et électriques appliqués au corps humain, permettent de développer des applications médicales, des traitements, dans lesquels le subconscient et le super-conscient jouent un rôle essentiel. Ces principes permettent d’expliquer les anomalies que la science matérialiste n’explique pas, dans le domaine de la santé.

Comment tout cela fonctionne t-il ?
Je vous invite à écouter dans un programme audio d’une cinquantaine de minutes tout ce que nous disent les scientifiques et les médecins qui sont des experts de ces questions. D’après tous les ouvrages que j’ai consultés et les vidéos que j’ai regardées, j’ai décidé de retenir comme fil conducteur l’idée que l’esprit est un mouvement et nous verrons comment il est en mouvement, selon l’angle sous lequel on l’observe et on l’étudie.

Si vous êtes médecin, vous aurez une vue globale sur le sujet, vous pourrez mettre des explications sur ce qu’on appelle « rémission » ou « miracle » dans le domaine de la guérison. Vous comprendrez ce vers quoi la médecine de demain matin (et non dans 10 ans) doit tendre et, quel est le rôle du praticien de biofeedback quantique dans un système de santé moderne.

Les appareils de biofeedback quantique constituent un type de technologie qui combine à la fois le cerveau gauche et le cerveau droit, le masculin et le féminin, les énergies scientifiques et intuitives qui doivent être intégrés dans la médecine de demain.

A l’issue de ce programme audio, vous aurez une idée de ce que désormais les patients peuvent attendre de vous. Selon le principe quantique fondamental qu’est l’intrication, vous n’êtes jamais séparé de votre patient.

Si vous êtes un praticien quantique vous devez être à l’aise avec toutes ces notions de conscience et de superconscience et, vous devez comprendre quel est réellement votre rôle dans la trinité, patient-équipement-praticien. Si vous avez un appareil de biofeedback quantique, vous aurez des réponses aux questions que vous vous posez certainement quand vous vous retrouvez seul face à la matrice. Quelques minutes seront consacrées aux explications données par la conceptrice de l’appareil SCIO-Eductor.

Si vous êtes un particulier, avec une santé défaillante, en quête de réponses sur la manière dont vous allez pouvoir guérir, vous trouverez des éléments clés dans ce programme audio, qui vous permettront de dialoguer avec votre médecin traitant pour faire le choix thérapeutique le plus approprié. (En France la liberté thérapeutique est normalement prévue par la loi Kouchner du 4 mars 2002.)

Nous vous remercions d’avoir choisi nos programmes éducatifs et de soutenir le développement du centre de formation en ligne, outil précieux qui relie tous les francophones de la planète et qui nous permet d’ancrer une révolution thérapeutique en marche.

Quand aurais-je terminé ma formation de biofeedback quantique ?

Pour l’Eductor, le constructeur impose une année de formation et être déjà
praticien de santé reconnu.
Qu’en est-il pour le SCIO ?

 

Quelques personnes se posent des questions sur la durée de formation à l’utilisation du SCIO.

A mon sens il y a quatre volets différents dans la formation.

1. La navigation dans le logiciel

Savoir se servir du logiciel, connaitre les différents menus, les différentes options. Il y a énormément d’applications, d’options et de choix possibles donc il est nécessaire d’y passer du temps. Plus vous voudrez avoir une utilisation précise et efficace, plus vous aurez besoin d’en savoir.

Conduire une voiture sans savoir comment freiner, c’est … !!

2. Les connaissances et compétences dans la santé et le relationnel avec le client

Il est impératif quand on travaille dans le domaine de la santé de se documenter, de se former pour avoir les connaissances et les compétences nécessaires.

Sauriez-vous réparer votre voiture sans rien savoir sur la mécanique automobile ?

3. L’interprétation des informations

Le logiciel présente les résultats de diverses manières, vous devrez apprendre à les lire et les comprendre. C’est souvent déroutant même pour des praticiens de santé confirmés. Les connaissances et compétences ci-dessus (volets 1 et 2) sont nécessaires pour cela mais pas suffisantes.

Savoir conduire une voiture ne fera pas de vous un pilote d’avion.

4. La professionnalisation ou l’utilisation à des fins personnelles

Toute personne voulant développer son activité auprès du public doit mettre en œuvre différentes actions : juridique, marketing, sociale… et savoir gérer son cabinet.
Les personnes qui utilisent l’appareil sur elles doivent aussi en comprendre les limites. Par exemple, la plupart d’entre nous ont un rapport à l’argent qui pourrait être amélioré. Si le SCIO nous y encourage, mais que nous ne voulons pas faire ce travail, le SCIO ne le fera pas pour nous. L’appareil ne forcera pas nos barrières inconscientes. Nous resterons donc avec notre stress et ses conséquences possibles sur notre mental, notre physique, nos relations sociales.

Pour devenir chauffeur de taxi, il n’y a pas que la conduite, mais aussi l’assurance, la licence, la publicité, l’entretien de la voiture… et savoir faire face aux mauvais payeurs !

 

Comme je l’ai indiqué au volet 2 ci-dessus, s’occuper des êtres vivants ne s’apprend pas en quelques stages. En France, les médecins suivent une formation intensive durant 9-15 années, en Chine cela peut durer 11 ans (médecine traditionnelle chinoise, incluant l’acupuncture, ou médecine occidentale). L’acupuncture nécessite en France 3 années d’études à plein temps EN PLUS d’un cursus médical officiel. Les ostéopathes : 5-6 ans à temps plein. Les psychologues : 5-8 ans à temps plein. Ces formations sont toutes théoriques ET pratiques. L’interne en médecine devra faire appel régulièrement à son médecin-référent par manque d’expérience : cela fait partie du cours normal de sa formation.

De même pour le SCIO, acheter l’appareil n’est pas suffisant. Faire ses premières armes avec une formation de base n’est pas suffisant pour devenir un professionnel. C’est juste le début d’un chemin.

Un chemin vers soi et vers les autres

Une meilleure connaissance de soi
Un meilleur accueil des autres

Par exemple, les Fondamentaux de notre formation sont une base pour les volets 1,2 et 3.

Par conséquent, il me semble justifié qu’il nous faille apprendre et étudier durant des années. L’apprentissage ne se finira sans doute jamais. Le Vivant est Merveilleux.

De surcroît, la loi française oblige les professionnels de santé à s’engager dans un processus de formation continue.

Notre formation en ligne permet un apprentissage en continu à vie

Avantages et inconvénients d’une formation en ligne

La formation en ligne est moins interactive qu’avec un professeur, mais elle permet d’aller à son rythme, de ne pas rater (sans deuxième chance) une partie de l’enseignement parce qu’on était fatigué ou indisponible, de ne pas être ralenti pas quelqu’un d’autre ou au contraire d’être à la traine parce que l’enseignant se cale sur les plus rapides, de ne pas avoir à se déplacer, à payer des frais, à dépendre du calendrier d’un autre etc. Ce sont les avantages majeurs et les formations à distance ont un bel avenir devant elles (cf mon article sur le prix d’une formation).

En ajoutant à la formation en ligne, quelques heures par mois de suivi par un mentor, vous pouvez avoir une formation à votre rythme et une réponse à vos questions quand elles arriveront. Être accompagné par un tuteur, un mentor qui vous suit durant votre formation est un impératif imposé désormais par le constructeur.

Attention :  Un tuteur n’est pas un formateur.

Un tuteur (mentor) vous aidera à garder le pied à l’étrier pendant votre apprentissage de base, à vous rassurer lors des premières séances SCIO, à vous écouter en cas de défaillance passagère, à vous orienter vers d’autres formations lorsque nécessaire etc.

Un formateur est celui qui dispense une formation, en direct ou par une formation en ligne.

Le biofeedback quantique repose sur des grands principes : principe de non-localité et absence d’espace temporel. Alors respectons aussi ces principes pour notre formation!Sourire (Typiquement, notre site d’e-learning le fait déjà).

 

Rester curieux et apprendre toujours plus, c’est aussi garder l’esprit ouvert face nos clients.

 

Les dessous financiers des formations en biofeedback quantique…

Combien coûte une formation pour devenir praticien de santé ?

 

En France l’Etat finance pour une grande partie les études que nous faisons. Par exemple, le coût d’une année de scolarité en université revient pour UN élève à plus de 10 000,00 € [l’Etat ne cherchant pas à faire du bénéfice]. Les frais d’inscription sont, dans beaucoup de cas, inférieurs à 200 € (2% du coût réel).

Aux Etats-Unis, il n’est pas rare de payer 25 000,00 € pour une année de scolarité. J’ai fait un calcul approximatif pour un étudiant américain travailleur, il payerait environ 55,00 € par heure de cours COLLECTIF. En France cela reviendrait donc à environ 55 000,00 € pour une première année d’école d’ingénieur.

Nous avons l’habitude que l’État paye pour notre formation

 

Par conséquent, nous oublions complètement le coût réel de tout ce qui nous est proposé et donné. Voici pour mémoire, un petit bout de la réalité  :

    • Les séminaires de formation (en anglais) du constructeur du SCIO sont à Budapest ou au Mexique et coûtent des centaines d’euros pour quelques jours.
    • L’université IMUNE propose un doctorat qui coute des milliers d’euros et des mois/années de travail acharné sur des documents en anglais.

Si nous voulons avoir des cours en français, quelle est l’autre réalité ?

  • Traduire une vidéo de formation faite par un professionnel de la santé coûte cher. Cela demande :

– de très bonnes connaissances en anglais en particulier dans le domaine du biofeedback, de la santé,
– des connaissances techniques poussées
– des dizaines d’heures de travail pour 2h de vidéo
– le paiement des droits d’auteur
– le coût de l’hébergement du site de formation
– le coût de l’hébergement des vidéos
– la maintenance régulière des sites pour qu’ils continuent à fonctionner correctement 24/24 7/7.

    • Créer un cours sur un sujet précis exige :

– de se documenter (heures passées sur internet, achat de livres, consultation payante de spécialistes etc.)
– d’écrire un contenu qui est viable et qui sera utile pour le praticien et le client/patient
– de le corriger et le faire relire
– de le publier
– d’en estimer la valeur monétaire
– d’en réaliser la promotion

Donc oui, il y a des frais, du temps passé et on doit penser à une juste rétribution de tous les intervenants.

Si la formation (avec le contenu proposé sur le site de formation en ligne) est faite en petits groupes, il faut ajouter le prix de la salle, de l’hébergement, du déplacement de l’intervenant (l’étudiant prendra à sa charge ses propres frais).

L’association EMABOM qui gère les formations du site, est à but non-lucratif et vous propose donc de plus en plus de formations à des tarifs les plus bas possibles (jusqu’à un seuil en-deçà duquel il n’est pas possible d’aller).

Vous devez prévoir un budget pour vous former correctement dans le domaine de la santé et du biofeedback quantique en fonction de vos besoins.

Je vous invite à évaluez vos besoins par rapport à vos connaissances et compétences actuelles. Le budget nécessaire ne sera pas le même si vous avez déjà quelques années de formation, avec ou sans diplôme, au moment où vous faîtes l’acquisition de votre équipement. (cliquez ici pour vérifier les conditions d’achat de l’équipement).

Si vous ne savez pas trop où vous vous situez sur l’échelle de formation qui est proposée, vous pouvez vous référer à ce guide gui vous donnera des repères. Cliquez ici.

Emmanuelle Labat reste à votre écoute sur le blog et examinera les besoins exprimés dans l’espace commentaires ci-dessous.

Sommes-nous des machines ou des êtres humains ? (Deuxième partie)

Nous aimerions discuter plus précisément de ce que le thérapeute holistique, de type praticien de biofeedback quantique, devrait apprendre et comment il peut accompagner son client.

 

La première partie de cet article est disponible ici.

Nous vivons tous les jours de nombreuses situations pour lesquelles nous avons des décisions à prendre au pied levé.
Par exemple quand nous conduisons une voiture : de multiples situations non-prévues surviennent et nous les gérons. Nous avons reçu une éducation, appris certains comportements ainsi qu’un code de conduite et cette base nous sert pour réagir en permanence.
Nous n’avons jamais tenté d’apprendre comment réagir à toutes les situations possibles ! Ça serait très compliqué, voire impossible.

Apprendre les bases est nécessaire. Tenter de connaître toutes les situations possibles et toutes les combinaisons de solutions est impossible.

 

Un autre exemple : l’apprentissage des langues. Il est impossible de connaître toutes les phrases possibles dans une langue ! Néanmoins, avec une bonne base de grammaire, conjugaison et de vocabulaire, on peut parler et comprendre.

Nous devons écouter, décrypter et parler dans la bonne langue pour le client.
Pour mieux communiquer, il faut améliorer la base.
(Donc la connaissance de l’humain dans notre cas).

 

Encore un exemple : dans la danse de couple, on commence à apprendre les « pas de base ». Un minimum vital. Par dessus chacun va construire sa compétence, son style. Et avec la musique et le/la partenaire, nous allons interpréter une des multiples façons possibles de danser.

Chaque rendez-vous est unique. Nous offrons à un moment donné le meilleur à notre client, parmi un très grand choix possible.

 

L’intérêt d’un appareil comme le SCIO-Eductor est justement de nous offrir mille et une façons de voir ce qui se passe, d’aborder les symptômes énoncés, de trouver de nouvelles informations, de relier le ressenti physique au coté psychologique, en passant par le vécu, la nutrition, le stress social ou encore les méridiens, l’ADN ou le système immunitaire.
C’est un voyage passionnant que nous pouvons faire avec notre client. Il ne s’agit en aucun cas de l’enfermer dans un diagnostic partiel et limitatif et un protocole thérapeutique.

Alors, allez-vous vous limiter à suivre un processus pré-établi ? Ou bien allez-vous vous laisser surprendre par la merveilleuse complexité de l’humain et découvrir avec l’aide du SCIO le chemin de la santé spécifique à notre client ?

En résumé, que devons-nous apprendre ?
La base : à construire une séance minimaliste, de l’anatomie-physiologie, les menus principaux du SCIO, savoir écouter, la nutrition etc..
Et toujours rester curieux pour apprendre, pour mieux percevoir !

Y a-t-il un chemin unique ? Non, chaque personne est unique. Nous utilisons les outils de base (comme par exemple la carte mentale) et nous faisons des choix parmi de nombreuses possibilités, selon les multiples informations que nous obtenons par l’appareil ou par notre client. Nous faisons le lien entre physique, mental, physiologie, stress professionnel, habitudes alimentaires, et ainsi de suite.

Qu’en est-il pour vous ? Considérez-vous vos clients dans leur ensemble ou bien cherchez-vous à supprimer leurs symptômes par un protocole non-personnalisé ?
Quels « pas de base » avez-vous appris ? Est-ce qu’ils vous permettent de répondre à tout ce qui se présente à vous ? Qu’est-ce qui fait défaut dans la formation que vous avez reçue ? Quels sont les domaines que vous aimeriez découvrir ou approfondir ?

Vous pouvez utiliser l’espace commentaire ci-dessous pour répondre à ces questions, pour réagir ou pour donner des informations complémentaires.

Sommes-nous des machines ou des êtres humains ? (Première partie)

Devons-nous continuer à nous découper en petits morceaux indépendants ?

 

Le corps humain est très complexe. Certains ont essayé de le découper en petites parties (ce sont les spécialités de la médecine conventionnelle allopathique), d’autres ont toujours considéré l’être humain dans son ensemble : la totalité du corps, de son état émotionnel, de sa spiritualité, mais aussi son environnement social, son activité physique, intellectuelle, son travail, son alimentation etc..

Ces deux approches existent au moins depuis l’Antiquité.

Découper l’être humain en une somme de petites composantes est très réducteur. Se spécialiser permet d’étudier plus en profondeur une partie de notre corps. Mais tous les thérapeutes devraient considérer l’être humain dans son ensemble. Nous savons maintenant qu’il y a énormément d’interactions entre les différentes composantes de notre être.

     Savez-vous que la pulsation de notre cœur transmet un message à tout notre corps ? Que muscler ses abdominaux peut provoquer des montées d’angoisse ? Que notre intestin est intelligent ? Qu’une hormone envoie différents messages ? Qu’un médicament peut provoquer d’autres symptômes ou aggraver ceux d’origine ? (Lisez les effets indésirables sur la notice d’un anti-dépresseur par exemple ! )
      Savez-vous que des symptômes aussi divers que des vertiges, un épuisement musculaire ou des crampes, un mal de tête, sensation de faim (souvent confondue avec l’hypoglycémie) ou baisse d’appétit, baisse de tension et de l’attention, fatigue intellectuelle, brûlures d’estomac, constipation, aphonie peuvent être dus à une simple déshydratation légère et se soigner avec … un simple verre d’eau ou deux ?

Nous devons être considérés dans notre ensemble. Pas comme un assemblage de machines.
Nous devons chercher à améliorer notre être dans son entier

Quand nous allons chez un médecin, très classiquement il se passe ceci :
– Une évaluation des symptômes (quelques questions, auscultation, interprétation d’un examen (analyse de sang, échographie…)
– La pose d’un diagnostic (vous souffrez de telle « maladie »)
– La mise en œuvre d’un protocole de soin (classiquement une ordonnance de médicaments, d’un acte chirurgical…) identique pour tous les patients en fonction de la maladie.
– Le paiement.
– Puis nous mettons en œuvre le protocole (paiement là aussi) : ingestion de médicaments ou soins par un spécialiste.
– les symptômes sont dissimulés, temporairement éteints (sinon habituellement nous retournons voir un médecin et le cycle recommence).

Le médecin semble ne considèrer qu’une très petite partie de nous.
Il veut supprimer le symptôme.

Nous sommes habitués à ce déroulement. C’est la règle dans le monde médical contemporain.
Mais quand on a affaire à des thérapies non-conventionnelles, du type thérapie quantique, tout peut changer.

– L’évaluation peut prendre beaucoup de temps. Elle peut vous demander d’être acteur principal (introspection, recherche d’explication, phase d’observation …)
– Il n’y aura pas forcément de diagnostic mais plutôt une prise de conscience holistique de la signification du message que les symptômes envoient.
– Les « soins » et les « traitements » peuvent être très variables (écoute active, changement alimentaire, prise de conscience, relaxation, équilibrage du corps électrique, harmonie de corps/esprit …) et peuvent reposer sur un acte volontaire de la part du patient. Les soins et traitements deviennent personnels, uniques, adaptés à qui nous sommes.
– Le paiement n’est en général pas pris en charge par les organismes que nous payons par ailleurs (cotisation santé ou mutuelle).
– Les symptômes ne disparaissent que lorsqu’une évolution du patient s’est bel et bien produite. (Pas de dissimulation possible). N’oublions pas que le symptôme est une alarme. La débrancher sans résoudre la cause est un risque.

Un thérapeute holistique va s’occuper de tout ce qui fait notre complexité d’être humain.
Il souhaite nous aider vers un mieux-être.

J’ai souvent reçu des personnes pour des séances de biofeedback quantique SCIO qui me demandaient : alors qu’est-ce qui ne va pas ? Quelle est ma maladie ? Beaucoup s’attendaient aussi, en fin de séance, à être débarrassés des symptômes.

Ces personnes étaient très déçues que je ne réponde pas à ces attentes. Déçues d’avoir parfois toujours des symptômes dérangeants, de ne pas avoir reçu un médicament-baguette magique qui leur apporterait une disparition immédiate de leur mal-être. Elles n’étaient pas toujours d’accord pour changer leur alimentation ou pour faire du sport… Dit autrement, elles n’étaient pas prêtes à se sentir responsables de leur santé et à agir pour l’améliorer.

Les clients/patients ne savent plus qu’ils sont responsables de leur santé.

C’est donc pour moi très important de leur donner des outils pour améliorer leur santé, pour limiter leurs stress, pour vivre mieux.

Le rôle éducatif du praticien de biofeedback quantique est primordial.

 

Et vous, que savez-vous sur votre corps, sur l’influence de votre vie sur votre santé?

Comment vous occupez-vous de vos patients ou clients ?

Qu’avez-vous appris récemment et qu’apprenez-vous à vos clients ou patients ?

 

N’hésitez pas à déposer vos commentaires ci-dessous

Vous pouvez lire la deuxième partie de cet article ici

Perception et interprétation dans le monde des thérapies quantiques

 

Le maître est l'éternel étudiantJe suis passée en mode hallucination, au fur et à mesure que je lisais ligne par ligne, le message ci-dessous, que j’ai reçu dans ma messagerie Internet.

Cela se passe en France en 2014, pays où nous pouvons rencontrer une espèce évoluée de l’homme de Neandertal. (en mode auto-dérision)

 

Leur interprétation

Cliquez sur l’image pour lire le message

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Mon interprétation de ce message

Comprenez-vous pour quelle raison la compassion est le premier cours du cursus de praticien de biofeedback quantique ! (Pratiquer la compassion revient à pratiquer la médecine). Premier sujet de notre module Les Fondamentaux (voir notre présentation).

La médecine quantique est tellement innée pour cette personne, dès sa naissance lorsqu’elle a ouvert les yeux, qu’elle a choisi de s’équiper d’un appareil INDIGO qui ne fonctionnait pas !
Cet appareil avait des vices de fabrication, perpétrés par l’entreprise nord-américaine qui l’a conçu, et que l’équipe européenne du concepteur du SCIO-Eductor a rectifié par la suite (avec la version 12-12-12 du logiciel).

Néanmoins, à ce jour, les modifications techniques ne permettent malheureusement pas à l’appareil d’avoir les propriétés de biofeedback au niveau de celles fournies par le SCIO. D’après la conceptrice du SCIO, qui avait « prêté » sa technologie propre au mode subspace, (à distance), l’INDIGO de ce monsieur, n’est pas recommandable auprès des assurances américaines qui remboursent les séances de biofeedback quantique (ses cellules ont du oublier de lui communiquer l’information).

Il ne reste plus qu’à espérer que ce praticien aura l’humilité d’en informer ses clients.

Rien ne prouve à ce jour, que l’utilisation d’un SCIO est innée. Je n’ai personnellement jamais entendu ce discours dans la bouche de la conceptrice. Bien au contraire, elle exige que les praticiens suivent un cursus de 700 heures de cours. Elle encourage les praticiens à réaliser une étude de cas (toutes les fonctions d’étude en double aveugle sont programmées dans l’appareil). Elle oblige le client à choisir un tuteur/tutrice (mentor) au moment de l’achat de l’appareil.

En revanche, il existe bien des revendeurs, des commerciaux, des distributeurs qui mettent en avant certains arguments et jouent les sirènes. Ils ont leur propre mode de perception.

Avons-nous tout cela dans nos cellules à la naissance ?

A quel moment peut-on proclamer que l’on fait de la médecine quantique à l’aide d’un logiciel ? Sans avoir au minima suivi les 700 heures de cours du cursus IMUNE, développé par la conceptrice du SCIO- Eductor en personne ?Sans avoir réalisé une étude de cas, publiée dans un journal officiel médical ou une revue scientifique et sans avoir soutenu une thèse devant un collège de pairs ?

A titre personnel, après près de 7 ans d’expérience avec le SCIO et au moment où j’ai mis mon « nez » dans les ouvrages de l’Université Médicale Internationale pour la Santé Naturelle, j’ai eu l’humilité de reconnaitre qu’en fait je ne savais pas grand-chose et que j’avais quelques belles années de formation devant moi.

Dans à peu près toutes les disciplines du secteur médical, un minimum de deux ans de formation est requis pour pouvoir être un « thérapeute ».

Si Monsieur « le praticien du jugement », que nous avons laissé s’exprimer sur ce blog, avait les compétences requises pour interpréter les résultats de l’appareil et faire de la véritable médecine quantique, les séances ne seraient pas aussi bon marché. Un praticien formé et certifié par IMUNE facture 150 euros, en moyenne, une séance en Europe, et facilement 150 à 200 dollars aux USA.

Alors qu’est-ce qui justifie ce genre de remarque à une praticienne, qui démarre de zéro, qui s’est inscrite à temps complet au centre de formation en ligne et qui franchit les étapes, une à une, de son chemin ? Qui n’a pas manqué de confiance, lorsqu’il s’est retrouvé au volant d’une Ferrari ?

Au bout du compte qu’est-ce qui est le plus important ?

Etre autonome vis-à-vis de sa santé et pouvoir s’occuper des siens et de ceux qu’on aime en toute sécurité et sincérité, pour jouir de la vie en pleine forme,

ou bien

de fournir un compte de résultats et une déclaration de TVA aux représentants du pouvoir fiscal du pays France, avec mention « payé par les chefs d’Etat » ?

Du mode hallucination je suis passée en mode « attristée » de devoir écrire ce genre d’article, pour défendre la grandeur d’âme d’une partie de notre profession, qui a réussi à changer de paradigme dans le domaine des soins et de la thérapie.

Le prix de la médecine énergétique, naturelle, holistique : combien êtes-vous prêt à payer ?

KNOCK ou le triomphe de la médecine

« J’ai récemment consulté une personne sur Lyon qui m’a prescrit un traitement apparemment très ciblé mais à des prix faramineux. Est-ce incontournable dans cette démarche ou existe-il des méthodes de régulation plus simples ? Sinon avons-nous à faire à des charlatans ? »

Je profite de ces quelques questions postées par une lectrice du blog, pour lancer le débat sur le sujet.

Knock ou le triomphe de la médecine

Tout d’abord je vous invite à regarder (à des fins pédagogiques) le film «KNOCK ou le triomphe de la médecine», qui peut être interprété comme une caricature du système médical que nous connaissons aujourd’hui en France ou bien, comme la réalité de ce que nous vivons au quotidien, en tant que professionnel médical ou patient du 21ème siècle. Tout dépend de nos programmes intérieurs quand nous regardons ce film.

Voici le synopsis du film selon WIKIPEDIA

Knock est un film français réalisé par Guy Lefranc sorti en 1951, et tiré de la pièce de théâtre Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains.

« Voulant assurer le triomphe de la médecine qu’il fait passer avant l’intérêt des malades, et souhaitant devenir le maître des habitants du village et de ses environs, le docteur Knock arrive à Saint-Maurice pour succéder au docteur Parpalaid, brave honnête homme mais dont la clientèle est rare. L’état de santé du pays est excellent. Se rendant compte qu’il a été dupé par son prédécesseur, mais loin de se décourager, Knock fait comprendre à chaque patient qui se presse à ses consultations que tout bien portant est un malade qui s’ignore. Le résultat ne se fait pas attendre. Tout le village se retrouve au lit ; l’hôtel est transformé en clinique et même Parpalaid revenu temporairement, doit s’aliter, inquiet à son tour pour sa santé, suite au « diagnostic » du docteur Knock, ce dernier ayant réussi à le persuader qu’il était en mauvaise santé. »

La vidéo a été supprimée de notre compte Viméo le 15 octobre 2017par la chaîne de vidéo elle-même, sans avertissement préalable. Il s’agit d’une vieille version du film que nous diffusions dans le cadre des règles de droits d’auteur expliquées dans cette vidéo : cliquez ici.

https://vimeo.com/82205664

 

Si vous n’avez pas le temps de regarder tout le film, ces quelques minutes seront suffisantes pour vous permettre de comprendre les sujets de débat de cet article. Voici les liens de deux extraits éloquents.

Un – https://www.youtube.com/watch?v=xwQ4Zt6Me9s

Deux –

 

Quels sont les ingrédients nécessaires pour
réaliser le triomphe de la médecine quantique ?

Un système de financement, un système de recherche et de validation scientifique, un système d’enseignement, un système de soins, le tout dans un cadre juridique français.

Le système de recherche et de validation scientifiques, existe. Cela fait plus d’un siècle que la physique quantique a fait ses preuves et les chercheurs poursuivent leurs études théoriques.

Lorsque la physique quantique permet une application telle que les appareils SCIO et Eductor, un système de validation est mis en place avec des études en double aveugle. Des critères techniques sont vérifiés, notamment la sécurité de l’appareil pour un usage public, ainsi qu’ une certification, qui permet d’obtenir une marque, telle que la marque CE par exemple. Par conséquent, nous pouvons bénéficier du biofeedback quantique en France.

En revanche, la route est encore longue pour voir triompher la médecine quantique au plan français, il nous faut un système de financement, un système d’enseignement pour pouvoir utiliser à bon escient une application médicale découlant du système de recherche scientifique, un système de santé, de soins, public ou privé, qui reconnaisse ce type d’approche thérapeutique médicale.

Les questions principales auxquelles nous devons répondre

Qui doit financer la possibilité, pour tous, d’avoir accès à des soins relevant de la médecine quantique ? L’Etat français ? Des organismes privés ? Les usagers ?

Voulons-nous un paiement à la St Michel ou bien lors de l’unique consultation annuelle, paiement séance tenant ?

Le praticien de biofeedback quantique a t-il un type de clientèle qui le laisse indépendant ? (comme le dit le Docteur Parpalaid, « nous sommes dépendants de tous et dépendants de personne »). Autrement-dit parlons-nous de clientèle et de client régulier ?

Voulons-nous tenir au titre de Docteur ? Pouvons-nous faire la différence entre la pratique et le fait d’avoir terminé sa thèse ?

Quel est le but ultime de la médecine quantique : la diminution de la mortalité, la fin des maladies dégénératives ou la conservation du malade ?

Le rôle de l’instituteur : si l’instituteur avait eu tous les éléments entre ses mains pour nous enseigner les conséquences du steak-frites-coca sur notre santé, le désastre sanitaire auquel nous faisons face à l’heure actuelle, serait inexistant. (La France est le premier producteur mondial de frites, il y a donc conflit d’intérêt avec l’enseignement de la nutrition dans l’hexagone.)

Que penser du couple médecin-instituteur ? A t-il sa place dans la médecine quantique ? Ou bien est-ce le rôle du professionnel de santé d’expliquer le fonctionnement du corps et l’hygiène de vie ?

Devons nous éditer et diffuser des ouvrages de vulgarisation ou bien des ouvrages richement étayés et dont les informations ont été validées par les grands noms de la physique quantique, de la psychologie, de la médecine etc..

Le devenir du couple pharmacien-médecin : dans l’univers quantique, qui est en fait la nature, nous n’avons besoin de ce couple qu’en dernier ressort. Est-ce que l’ordonnance pourrait mentionner « 10 séances de biofeedback quantique » et permettrait l’accès à un remboursement par une assurance privée ? Est-ce que la vie matérielle du praticien SCIO/Eductor doit dépendre du volume d’ordonnances ?

Le prix d’une séance de biofeedback quantique

Lorsque j’ai eu le SCIO entre les mains, une des premières questions que j’ai posée était : Quel tarif de séance est-ce que je peux proposer ? En 2007, la réponse que j’ai obtenue, était : l’échelle des prix va de 50 à 400 euros la séance. Aujourd’hui, la réponse est 150 euros la séance, tarif recommandé pour un praticien diplômé/certifié IMUNE.

Aujourd’hui, c’est le patient/client qui pose la question et s’interroge sur le bien fondé des tarifs proposés, voir le début de l’article.

Le praticien de biofeedback quantique, peu importe s’il a le titre de Docteur ou non, doit-il donner des séances de bienfaiteur ? Tous mes collègues et moi-même avons donné des séances de SCIO gratuitement ou pour des sommes dérisoires. Un tel système requiert que d’autres payent le prix fort. Payer un prix fort une séance, permet également au praticien d’être en formation continue.

Doit-il y a voir un tarif fixe qui serait en lien avec un système de remboursement, de type mutuelle ?

De quelle structure avons-nous besoin ?

Je ne suis qu’une partie du projet qui se déroule à l’échelle planétaire et j’ai fait des choix dans la façon de pratiquer le biofeedback quantique, de me former, et de retransmettre les connaissances. C’est ainsi que j’ai créé ce blog et le centre de formation en ligne. C’est une première étape.

Tous les jours je me pose la question du financement du système de formation du praticien. Doit-il provenir de l’Etat français ou bien doit-il rester privé ? Dépend-il uniquement des fonds versés par les usagers de ce type de soins et des gains issus de la vente des appareils, de manière à aboutir à un système autonome, en auto-financement ? Pour éviter les conflits d’intérêt, il est fortement recommander que le système de soins et d’enseignement ne soit pas lié à la vente d’un appareil. Les structures éducatives ne doivent-elles fonctionner qu’avec des bénévoles ou bien créons-nous des emplois pour assurer la pérennité de l’enseignement ?

Les étudiants en médecine quantique doivent-ils financer entièrement leurs études, payer les cours, payer le tuteur qui les suit pendant leur apprentissage, payer leur directeur de thèse, payer les examens et le diplôme ?

A ce jour deux universités offrent un cursus en biofeedback quantique ; un cursus court, Université Victor Babes, université de médecine et de pharmacie à Timisoara en Roumanie et, un cursus long Université Médicale Internationale IMUNE, en ligne. Les cursus sont en anglais. Tous les frais d’études sont à la charge de l’étudiant.

L’intérêt du malade est-il subordonné à l’intérêt de la médecine ?
Quel est l’intérêt ultime de la médecine quantique ?
Quel type de système éducatif doit soutenir la médecine quantique ?

Je souhaite recueillir le maximum d’avis et de réponses aux questions posées dans l’article et de propositions pour le financement d’un système éducatif de santé naturelle et de biofeedback quantique reconnu par les autorités françaises. Que souhaitez-vous et quel prix êtes-vous prêt à payer pour avoir un cursus court et long en français ?

Je vous remercie de vous exprimer dans ce débat ouvert, en utilisant la rubrique commentaires ci-dessous.

 

La révolution des glucides : éliminer le stress sucré

les_chemins_du_sucre

 

 

Ma quête du Saint Sucre

 

 

SUR LES CHEMINS DU SUCRE, j’aspirais avec contentement le sucre juteux de la canne à sucre fraîchement coupée dans les champs qui entouraient la maison où je vivais. Je me revois dans les premières années de ma vie. Je me souviens aussi, tout autant, de cette mauvaise odeur ressentie lorsque enfant, j’ai visité l’usine qui produisait le sucre de canne. Ce même sucre qui semblait délicieux était tout aussi désagréable par certains de ces aspects. Enfant, il m’était difficile d’être lucide sur ces phénomènes et les conséquences de la cane de sucre sur ma santé et la santé en général. Les nombreuses caries devant être soignées au retour en métropole ont laissé beaucoup de traumatismes dans mon corps.

Les Chemins du sucre passèrent en Russie pendant ma jeunesse, où j’ai souffert du fait de ne pas pouvoir boire de thé sucré. J’ai connu l’époque de l’Union Soviétique et les débuts de la Russie. Chez un citoyen du peuple, il n’y avait pas de sucre blanc dans le placard. Il fallait que je me soumette aux habitudes locales et que j’abandonne mon thé sucré quotidien (habitude prise pendant l’enfance après avoir quitté les champs de cane à sucre, de retour en métropole et par mimétisme avec la personne qui m’abritait sous son toit). Mon expérience russe aurait du m’alerter, me rendre plus consciente de ce manque viscéral de sucre blanc. Mais non. Ma vie de citoyenne française ordinaire me conduisit plutôt à emporter du sucre avec moi pour tous les séjours suivants. Quel malheur !

Sur les Chemins du sucre, j’ai fait une halte en Chine, même topo qu’en Russie. Sauf qu’entre-temps, je me suis habituée au thé vert que je buvais sans difficulté sans sucre. Ma quête du Graal, ma quête du Saint Sucre commença en 2001 avec le Reiki et se poursuivit avec la remontée en conscience de ce que veut dire le sucre pour moi, grâce à des techniques japonaises de soin. Puis les Chemins du sucre me conduisirent plus tard à Londres dans une libraire spécialisée en santé naturelle, où je me procurais des ouvrages importants sur le glucose. Et finalement, quelques années de séances de SCIO allaient débusquer définitivement ces mémoires sournoises, le pourquoi et le comment du désir sucré et des légères hypoglycémies.

A l’été 2013, les Chemins du sucre passèrent aussi sur la plage de Roscoff, où des spécialistes de la psychologie humaine m’expliquèrent le sens qui peut être donné à la « douceur sucrée ». Sacré Saint Sucre. Au pays de Merlin, dans les mois qui suivirent, mon intellect s’est mis en marche dans son étape ultime pour conquérir le Graal. Je partage avec vous ci-dessous cette étape récente sur les Chemins du sucre.

Vous voulez rester en bonne santé,
assurer la croissance et l’avenir de vos enfants,
vous voulez perdre du poids avant de tomber sur la pente de l’obésité ?
Cet article est pour vous.

 

nutrition marielauterre

 source photo : artiste marielauterre

La pomme a la quantité la plus importante de levulose.

 

Voici le piège dans lequel je suis tombée un jour, dans un rayon d’ un magasin bio.
Un pot à la couleur du miel sur lequel étai écrit “Sirop de Fructose’”, de manière bien visible et bien rassurante. Je prends le pot et le mets dans le caddie sans me poser de questions. Vous avez certainement entendu comme moi que le fructose est le meilleur sucre pour la santé humaine.
J’applique ce que j’ai appris, le fructose est bon pour la santé. Mes désirs de « douceur sucrée » ne me feront pas de mal.
Puis un jour où j’étudiais, plongée dans mes cours du doctorat que je prépare, je suis allée rechercher le pot couleur d’or pour vérification. Voici ce que j’ai lu, écrit en tout petit à l’arrière du pot :

« Ce sirop issu du blé contient essentiellement du fructose, au pouvoir sucrant, 1,7 fois plus élevé que le saccharose.
Valeur énergétique 1313 kJ (314 kcal)
protéines g/100 g : 0,05
lipides g/100g:0,05
sucres totaux g/100g : 75
dont Fructose > 71
dont glucose <4
»

ARNAQUE …… j’étais sur le chemin de la maladie, de la destruction à petit feu. Il s’agit de manipulation de l’information (à des fins mercantiles ou autres).

 

 Quel sucre pour un corps sain !

Votre glycémie change lorsque vous mangez
du Fructose Levulose
ou du sucre dextrose.

image

 

(source photo :  ouvrage sur le diabète et le sucre, du Dr Desire Dubounet – IMUNE)

 

Savez-vous pourquoi ?
Connaissez vous les bienfaits des sucres de type fructose levulose et
connaissez vous les dégâts des sucres dextroses ?
Selon le principe de la chiralité notre corps fonctionne avec
des glucides dextrogyres. Quelles raisons vous poussent  donc à manger des sucres de type dextrose?

 Comprenez vous parfaitement le schéma ci-dessus et  savez-vous répondre correctement aux trois questions ?

 

 

Vous devez absolument connaître le facteur de stress dénommé sucre, notre sucre contemporain qui stresse le corps tandis que le glucose est l’élément primaire dont le corps a besoin pour fonctionner. Pas de glucose, pas de vie !

La question « combien de sucre consommez-vous par jour » qui est indiquée dans « Demographie » (cliquez ici pour voir article plus détaillé), est capitale pour certains d’entre nous. Cela peut prendre plusieurs années pour passer par exemple de 10 à 5 puis à 0. On doit rechercher la quantité de mauvais sucres.

Dans la plupart des produits transformés que nous achetons, nous ne connaissons pas la nature des sucres utilisés. A titre d’exemple quelques-uns des produits transformés que j’avais chez moi, (j’en ai très peu) et, qui faisaient partie, de manière modérée, de mon alimentation.

Lait végétal délice noisette
Ingrédients:eau, noisette (7%), sirop d’agave, maltodextrine de mais,
pour 100 ml, 54 kcal/230 kJ
Protéines 0,5g
Glucides : 6g
dont sucre, 3,5g
lactose 0g
Lipides dont
acides gras saturés : 0,4 g
acides gras mono-insaturés 2,5 g
acides gras poly-insaturés 0,2 g
Traces
Fibres alimentaires 0,7g
sodium 0,08 g

CHOCOLAT NOIR éclats d’amandes caramélisés
ingrédients : pâte de cacao, sucre, éclats d’amande caramélisés 12% (amandes sucres), beurre de cacao, émulsifiant : lécithine de tournesol, extrait de vanille
cacao : 60 % minimum dans le chocolat noir
Pour 100 g valeur énergétique 2317 Kj/ 557 kcal
graisses 36,5 g dont acides gras 20,5 g
glucides 43,7 g dont sucres 41,3g
fibres 9,2 g
protéines 8,8 g
sel 0,02 g

La question du dextrose versus le  fructose
n’a jamais été réellement discutée sur la place publique et,
cela pose un grave problème sanitaire.

Je n’ai pas eu le toupet de rester des heures et des heures dans les magasins à recopier les étiquettes des produits. Non, je les ai tous achetés et consommés très modérément. Après avoir étudié scrupuleusement toutes les étiquettes à la lumière de mes connaissances scientifiques sur le corps humain, je ne les ai même pas passé à un voisin ou aux Restos du cœur, car je respecte le principe, « ne fais pas aux autres, ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse », ni jetés à la poubelle. Ces produits restent dans mon laboratoire personnel.

Est-ce que l’industrie agro-alimentaire et ces chaînes de distribution associées, empoisonnent leurs clients de façon délibérée ? Ils ont les mêmes connaissances que moi sur le sucre. Est-ce que seul le profit les guide ?

Ou bien vous, clients, n’avez pas l’éducation nécessaire sur le sucre pour faire vos choix, auquel cas il n’est jamais trop tard pour s’éduquer. Le blog formation quantique et son espace éducatif privé a été conçu à cet effet.
NUL N’EST SENSE IGNORER LES LOIS DE LA NATURE !

Si vous êtes un amateur de sucreries et si vous ajoutez du sucre dans votre alimentation au quotidien, je vous invite à comprendre ce qui se passe dans votre corps.

Vous pouvez ci-dessous écouter le début d’un programme éducatif que je vous propose.

[powerpress]

 

Si vous êtes suivi par un nutritionniste, faîtes le point avec elle/lui. Si vous êtes un professionnel de santé, êtes-vous bien certain d’avoir toutes les connaissances nécessaires ?

Voici le plan de notre programme éducatif 

Un programme audio de 56 minutes qui vous expliquera le schéma ci-dessus à la lumière de la biologie quantique.
Un dictionnaire des glucides.
Un guide pratique des sucres et édulcorants à télécharger.
Un document mémo utile à tout moment lorsque vous vous poserez les questions sur ce que vous voulez manger.
Un programme audio de 25 minutes qui vous donne des notions de biologie quantique.

Cette formation complète fait partie intégrante du module Les Fondamentaux (cliquez ici pour plus de détails) et, vous aurez automatiquement accès à tous les autres programmes éducatifs.

 Cliquez ici pour vous abonner au Module Les Fondamentaux

Vous pouvez également vous inscrire au programme complet qui va plus loin que la théorie. Vous aurez accès à une méthode « Le stress sucré » qui vous aidera à supprimer complètement les sucres raffinés.

 Cliquez ici pour vous inscrire au Stress sucré

Nous vous remercions d’avoir choisi nos programmes éducatifs et de soutenir le développement du centre de formation en ligne, outil précieux qui relie tous les francophones de la planète et qui nous permet d’ancrer une révolution thérapeutique en marche.

Le monde invisible en multicolore

Le ballon rouge

(film d’Albert Lamorisse)

 

Film : Le ballon rouge

Nous avons un corps électrique, invisible

Nous avons des méridiens, invisible

Nous avons des pensées, invisible

Nous avons une âme, invisible

Certains ont un ange gardien, invisible

Nous avons un coeur qui produit de l’énergie, invisible

 

Je vous laisse vous détendre et oublier toutes les considérations scientifiques du monde quantique. Je vous invite à mettre un peu de couleur sur le monde invisible et vous relaxer devant ce chef d’oeuvre de 34 minutes.

Bon cinéma!

 

 

 

Quelles calories nous empêchent de mincir ?

Comment voulez-vous perdre du poids si……

vous suivez le régime alimentaire complètement fou que j’avais adopté quand j’avais la vingtaine, puis le début de la trentaine : dîners d’affaire tard le soir, cocktails, foie gras et caviar à gogo dans la business class d’Air France à toute heure de la journée, pauses viennoiseries pendant les réunions de travail, cuisine micro-ondes à la maison pour aller vite, produits transformés en abondance, légumes extraits du congélateur, le tout arrosé avec de l’eau en bouteille, tout le régime se déroulant dans un environnement très pollué, Paris.

Cela vous choque t-il? Ne vivez-vous pas comme cela ?

 

Le plan de restauration du corps : calories chimiques

Un de mes ouvrages de référence.
Si vous voulez le commander,
cliquez ici.

Il s’avère très difficile de demander au corps de se libérer de kilos en trop
alors que tout son système d’élimination est encrassé !

Le corps a la capacité naturelle d’éliminer les toxines qui font partie du processus de fonctionnement normal. C’est prévu depuis le premier jour de la création du Terrien.

Depuis des années (au moins le 20ème siècle et le début du 21ème siècle), le corps vit dans un environnement qui lui apporte une surdose de toxicité. En plus, le Terrien lui fait avaler une alimentation pleine de produits chimiques. (je vous recommande vivement de regarder la vidéo à la fin de l’article).

Comment voulez-vous que le corps s’en sorte ?

Sa capacité à éliminer les toxines = détoxiner, a déjà atteint le plafond.

Sa capacité à éliminer la toxicité = détoxifier, ne peut pas crever le plafond déjà atteint à cause des toxines.

Regarder dans l’image ci-dessous qui est une capture d’écran lors d’une séance de biofeedback quantique. L’appareil utilisé, le SCIO-Eductor, nous permet de voir toutes les sources de toxicité que nous avons dans le corps, amalgames, produits d’hygiène, nicotine, alcool, vaccin, produits laitiers, métaux lourds, radiations, médicaments etc.

Les sources de toxicité, selon le SCIO-Eductor

Bref, reprenons le fil de l’histoire. Le jour où j’ai pris la décision de mettre fin à ce régime que j’ai décrit plus haut, j’ai commencé par nettoyer mon corps. Je l’ai lavé à grandes eaux, sans produits chimiques. Ensuite, j’ai pris soin de l’alimenter sans produits chimiques, de manger au maximum des produits non traités et non transformés, de me laver et de laver mes vêtements avec des détergents non-toxiques (la peau est l’organe le plus grand du corps et tout passe au travers et contribue à engorger nos canalisations d’évacuation internes). J’ai déjà de fait éliminer un bon nombre de calories chimiques.

Comment voulez-vous perdre du poids
en avalant des calories chimiques ?

Je suis une autodidacte dans le domaine de la perte de poids, quelques années d’expérience qui s’accumulent et la recherche d’informations médicales et scientifiques qui peuvent justifier mes expériences. Je pense que vous pouvez aussi devenir autodidacte, de nombreuses informations étant maintenant disponibles concernant la perte de poids, le surpoids, le contrôle pondéral (il y a plusieurs façons d’en parler, selon la situation dans laquelle vous vous trouvez.). J’ai juste quelques longueurs d’avance sur vous. Voici un petit exemple de ce que j’ai appris.

Calorie chimique !!??? Je sais vous n’allez pas me croire. Qu’est-ce que cette nouvelle chose ? Cette thématique étudiée, commentée par le Dr Paula Baillie-Hamilton, est arrivée jusqu’à moi sous la forme d’un livre “The body restoration plan”  (un programme de restauration du corps, ma traduction libre du titre ) qui m’a été offert par une amie anglaise, thérapeute dans le domaine de la nutrition, également praticienne en biofeedback quantique. Ce cadeau est venu m’éclairer après avoir perdu 18 kilos par mes propres moyens.

L’auteur de l’ouvrage qui a une formation médicale et scientifique, a passé des mois et des mois a rassemblé toutes les preuves que tous les polluants environnementaux engendrent de l’engraissement chez les Hommes et les animaux. Le livre n’existe qu’en anglais (ce qui est bien dommage pour la population francophone en surpoids et souffrant d’obésité) et par conséquent j’ai décidé de reprendre en français certaines des idées et des conclusions du Dr Bailie-Hamilton, dans notre espace membre privé. La liste qu’elle a dressée, des aliments et de leurs calories chimiques, est déjà en ligne.

Et pour terminer, si je veux emprunter le chemin « mincir »,

– je prends une décision et je m’y tiens
– je m’informe sur la façon dont fonctionne le corps
– je nettoie mon corps
– je n’ajoute pas de calories chimiques
– j’apprends à me nourrir etc.

Etes-vous d’accord avec ces grandes lignes ? Si OUI

ACTION 1

Je regarde la vidéo et je prends connaissance de la réalité dans laquelle je vis

 

ACTION 2

J’ai pris la décision de commencer à faire quelque chose pour perdre du poids. Je veux m’informer sur quelques pistes que je ne connais pas encore. Je vérifie que j’agis bien sur des points essentiels qui peuvent bloquer ma perte de poids et qui peuvent m’éviter de reprendre du poids.

ACTION 3

Je m’inscris à la rubrique « Gestion du poids » en un seul clic ici.

BRAVO et nous vous retrouvons avec plaisir dans l’espace membre privé. Sourire